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ART CAN DIE : l’art 3.0
Le monde de l’art est un marché vieux comme le monde. Dès l’Antiquité, l’on retrouve des traces d’art et de transactions y liées. Au fil du temps, l’expansion de ce marché multimillénaire a été freiné par des mauvaises habitudes qui lui sont propres : telles l’opacité du marché et la concentration entre les mains d’une élite du pouvoir de fixation des prix et des conditions d’accès au marché. Ces pratiques sont de plus en plus en décalage avec les attentes des consommateurs. ART CAN DIE est un projet ayant pour ambition d’apporter une solution aux problématiques d’un marché en quête de renouveau.
Passage à l’ère moderne
Un marché qui peine à évoluer
Différentes problématiques frappent le marché de l’art.
Tout d’abord, l'accès. Il peut être difficile pour les artistes et les galeries indépendantes, en particulier ceux qui ne sont pas bien connectés ou qui manquent de moyens financiers pour se faire connaître.
Ensuite, vient la question de la liquidité. Bon nombre d’artistes ont du mal à générer de la valeur ajoutée et à obtenir une rémunération adéquate pour leurs créations. Aujourd’hui, ces derniers sont souvent contraints de porter plusieurs casquettes : artiste, vendeur, expert en marketing, entrepreneur… Ils ne peuvent plus prendre le temps de se consacrer durant plusieurs mois à la réalisation d’une œuvre.
Le manque de transparence joue également sur la confiance des collectionneurs, qui sont moins enclins à acquérir ou investir. Ce qui a un effet négatif sur la diversité des artistes et des œuvres disponibles sur le marché. De même, cela réduit les opportunités de développement des artistes émergents.
Enfin, la question de la fraude. Malheureusement, la fraude est un problème sur le marché de l'art, avec des œuvres fausses ou attribuées erronément qui sont vendues à des prix élevés.
Des solutions au travers de la décentralisation
ART CAN DIE vient répondre à ces difficultés au travers d’un écosystème 3.0 dédié au marché de l’art. L’on peut ainsi citer :
- la DAO ACD
- le DIE Metavers
- le token DIE
- les NFTs
Ces différentes composantes ont pour objectif de répondre aux attentes des artistes tout en offrant une meilleure expérience de l’art aux consommateurs, où qu’ils soient. ART CAN DIE se veut donc être le pont nécessaire entre monde physique et digital.
Grâce à la décentralisation et notamment la DAO, ART CAN DIE fournit aux artistes tout ce dont ils ont besoin dans le monde actuel :
- des financements
- une communauté
- de la visibilité
- des événements
Les artistes, quant à eux, peuvent consacrer 100% de leur temps à la création artistique.
Les œuvres ainsi réalisées peuvent ensuite être liées à un NFT afin d’être suivies en temps réel, sans peur de disparition, diminuant grandement le potentiel de fraude.
Le token DIE
Le token DIE est une pierre angulaire du projet ART CAN DIE. Avec une supply limitée à 21 millions, ce token résidant sur la Binance Smart Chain permet aux utilisateurs d’interagir entre eux au sein de la DAO.
C’est ce qu’on appelle un token de gouvernance. Ainsi, la détention du token DIE vous donne des droits sur la DAO ART CAN DIE et donc de prendre part aux décisions de l’écosystème.
La DAO
La DAO ou organisation autonome décentralisée, permet de rassembler la communauté autour d’un but commun : découvrir, partager, et produire collectivement de l’art physique et digital. Autrement dit, une réelle participation au monde de l’art !
Les membres pourront alors prendre part à des événements exclusifs comme des expositions, jouer à des concours pour gagner des NFT, voter sur la production artistique mise en avant par une équipe de curation, ou encore simplement staker leurs tokens afin de générer un revenu passif.
Le token s’adresse donc à plusieurs acteurs :
- Les passionnés d’art
- Les artistes
- Les collectionneurs
- La communauté web3
Une première réalisation concrète
ART CAN DIE a démontré son ambition en réalisant sa première exposition internationale à Bangkok l’été dernier. Pendant six semaines, le projet a présenté les œuvres de 13 artistes internationaux, ayant pour but commun de se surpasser.
C’est le cas du peintre sino-américain Mu Pan, connu pour ses grandes peintures épiques, qui s’est aventuré dans la sculpture pour la toute première fois. Ou l’artiste belge Nick Ervinck, qui a finalement créé une série de deux sculptures imprimées grâce à une technologie 3D fruit de nombreuses années de recherche.
Cet événement aux invités prestigieux, placé sous le patronage de l'Ambassade de Belgique et du Ministère de la Culture thailandais, confirme la capacité transformative de la blockchain sur le monde de l’art. Un pont solide entre le physique et le digital.
Un projet bien entouré
Jean-Marc Goossens et Gaël Boven sont avocats internationaux spécialisés en blockchain et crypto.
Forts de leurs expériences respectives, ils sont entourés de conseillers compétents dans les secteurs de la technologie et de l’art. C’est le cas notamment de Léo Caillard, artiste maître sculpteur et créateur des NFT du ballon d’or. Conscients des problèmes de l’intérieur, ils forment une équipe adaptée à la mise en place des solutions nécessaires au monde de l’art.
Aujourd’hui, le projet est plus que jamais lancé et entre de bonnes mains.
L’art est un secteur vieux comme le monde qui a toujours passionné. Comme écrit dans le whitepaper, “L’art est cette chose unique qui transcende le temps et l’espace”. Néanmoins, c’est aussi un monde qui a ses problématiques fortes et qui n’a pas pu y faire face malgré l’arrivée de nouvelles technologies. Aujourd’hui, ART CAN DIE veut profiter de la décentralisation offerte par la blockchain et les cryptos pour réussir à construire un écosystème parfait pour les artistes tout en impliquant bien plus les personnes qui suivent ces artistes. Le projet est apparu dans des publications majeures telles que Forbes, BeInCrypto, ou encore CNews. Entre 2023 et 2024, ART CAN DIE arrive avec des nouveautés importantes qui pourraient révolutionner le marché de l’art. Chez CryptoLogik, c’est en tout cas un projet que nous suivons de près.